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France. Si j'étais président !

 

 

    MacronCap   576 W

 

 

 

 

On peut tirer le rideau mais avant tout pour être efficace autant choisir

 

 1

 Voter "Mac", voter "Pen" ou voter "Blanc" ?

 Pour MAC bingo c'est le "banquier" du Touquet qui aime tout le monde sans dire comment.

 Voter BLANC autant ouvrir la grande porte aux 2 précités en restant au balcon.

 2

 ET ALORS ... ET ALORS ...

 

S'il y a 2 maladies graves dans le corps "social" comme pour le corp "physique" dont malheureusement on ne peut supprimer qu'une seule, je ne reste évidemment pas à ne rien faire et comme aux primaires sans en partager tous les pouvoirs guérisseurs, je voterais pour barrer la route de l'autre. Ce fut le cas pour SARKOSY et VALLS.

En un mot et par réalisme, raison et efficacité, si j'étais français, j'opterais pour un remède dont la posologie est clairement libellée qq'en soit l'auteur par des points nombreux - 16 minimum -  et importants (1) de convergences avec mnn analyse comparative.

D'autre part, n'ayant que des points de totales divergences et nébuleux tant par définition que par laur définition du mode d'application dont on attend toujours la démo du contraire avec un MAC Touquet ou TOCCAR disait POUTOU "programmatiquement bling-bling embrassons-nous Folleville" la cohérence politique exige son rejet tout aussi absolu.


Chose faite et pour les mêmes motifs de réalisme, raison et efficacité, si j'étais français, j'oeuvrerais au renforcement d'une gauche radicale forcément insoumise en vue des échéances électorales qui suivront.
J'oeuvrerais de la sorte parce que conforté par le nouvel et remarquable apport de voix engrangé par cette force radicale et insoumise française au cours de cette campagne présidentielle 2017.

4

Conclusion :

Par cohérence et en désespoir d'une meilleure cause, si j'étais français, sans ambigüité je ne resterais certainement pas au balcon les mains dans les poches me lamentant et m’abstenant sous une forme ou une autre.  

 

Politiquement,je voterais par calcul d'efficacité politique au 2ème tour, ni blanc ou abstention mais sans hésitation contre « MACRON »

 

Le rédac de RIPOSTE.

 

 

De cause à effet

 

Clic sur logo ci-dessous pour une autre motivation expliquant indirectement notre démarche.

 

 

 

   FrancInsou

 

 

(1) 

 

NB

A ce jour 26.04.2017, aucune réfutation officielle de ce document circulant sur la voie publique en France depuis plusieurs jours et sur les réseaux sociaux n’a été prononcée. Nous relevons en outre des similitudes identités et des différences dans les textes programmatiques que tout un chacun peut consulter.

 

Hormis l’examen du MONDE | 26.04.2017 http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/04/26/un-trac-fn-de-supposes-points-communs-pour-recuperer-les-electeurs-de-melenchon_5117895_4355770.html ces différences en nuances ou non que nous connaissons et ces convergences en adéquation avec la composante populaire – 75% - du FN chacun soignant très logiquement son propre électorat socialement dominant ne touchent en rien notre développement ci-avant.

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Macron, fabriqué pour servir

05.2017 Monde diplo.

Le candidat des médias

 

Extraits

 

1

Deux semaines avant le premier tour de l’élection présidentielle, en avril, M. Emmanuel Macron, 39 ans, sort avec son épouse d’une librairie du boulevard Saint-Germain ouverte tard le soir. Ils croisent des étudiants occupés à coller des affiches du leader du mouvement En marche !. La conversation s’engage sur l’absence regrettée du candidat au quartier général des « marcheurs » parisiens, et glisse sur l’affiche officielle de la campagne. Mme Brigitte Macron ne l’aime pas. Elle ne ressemble pas à son jeune époux, estime-t-elle. M. Macron en explique la raison : il a été vieilli sur la photo pour mieux suggérer une posture présidentielle.

 

Comme ce cliché, la candidature de M. Macron n’a-t-elle pas elle-même été façonnée par des mains expertes ? Au-delà de l’ambition, du talent, de la trajectoire de ce pur produit de l’élitisme à la française. les fées penchées sur le berceau du prodige n’en révèlent-elles pas davantage sur l’homme que ce qu’il dit lui-même — en particulier celles qui agitent leurs baguettes dans le monde des médias et de la communication ? M. Macron plaît à la presse et à ses dirigeants. Et pour cause : son discours libéral, europhile, atlantiste et moderniste évoque une synthèse des éditoriaux du Monde, de Libération, de L’Obs et de L’Express qu’un acteur de théâtre expérimental aurait entrepris de hurler sur scène…

 

  MacronCaric 

 

2

… Nommé secrétaire général adjoint à l’Élysée en mai 2012 chez PS / HOLLANDE, l’inspecteur des finances devient la courroie de transmission entre les grandes entreprises et le pouvoir. « Emmanuel Macron est notre relais, notre porte d’entrée auprès du président », déclare M. Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange.

Sa nomination à Bercy en tant que ministre de l’économie, de l’industrie et du numérique, en août 2014, lui vaut une réputation de chantre de la « destruction créatrice » des emplois au profit de la transformation numérique du monde du travail. « Ce serait une grossière erreur de protéger les entreprises et les jobs existants », estime-t-il en décembre 2014, alors que les chauffeurs de taxi manifestent contre Uber.

Le ministre séduit ainsi des capitalistes de la nouvelle économie, tel M. Marc Simoncini, le fondateur de Meetic, qui parle de sa rencontre avec lui comme d’une « histoire d’amour le lendemain d’un coup de foudre ». M. Niel, qui lui a fait visiter son École 42 (une école d’informatique), résume le sentiment partagé par de nombreux patrons : « Dans les bons milieux parisiens, il est adoré (…). J’aime bien Emmanuel pour son côté volontariste et libéral » (Society, mai 2016)…

3

…Les rapports du candidat d’En marche ! avec un autre magnat des télécommunications et des médias, M. Patrick Drahi (SFR, BFM TV, RMC, Libération, L’Express), interrogent. En 2014, lorsqu’il était ministre de l’économie, M. Arnaud Montebourg avait déclenché une enquête fiscale sur cet industriel qui avait domicilié sa résidence en Suisse et ses participations personnelles dans un paradis fiscal (Guernesey).

À son arrivée à Bercy, M. Macron s’est montré plus conciliant. M. Drahi a ainsi pu racheter SFR à Vivendi sans avoir à rapatrier ses avoirs en France, comme l’avait exigé M. Montebourg. Et si, l’année suivante, le ministre n’a pas favorisé l’offre de reprise de Bouygues Telecom par SFR pour 10 milliards d’euros, c’est qu’il savait le dossier explosif : la société dirigée par M. Martin Bouygues, actionnaire de TF1, avait pour conseil la banque Rothschild. M. Didier Casas, directeur général adjoint de Bouygues Telecom, a d’ailleurs rejoint en janvier 2017 l’équipe de campagne du candidat Macron.

4

Mais l’avantage accordé par la presse à M. Macron tient moins à ce qui se dit qu’à ce qui se tait. Dans le domaine des « affaires » — les 120 000 euros de frais de bouche à Bercy, l’impôt sur la fortune ou l’évaluation de son patrimoine révélés par Le Canard enchaîné —, la clémence à l’endroit d’« E. M. » est d’autant plus éclatante qu’elle contraste avec le pilonnage subi par ses rivaux lorsqu’ils sont pris en faute.

 

« Posez-vous la question : pourquoi ces heures et ces heures de télévision en direct ?

Pourquoi ces couvertures de magazines, pourquoi ces pages et ces pages autour de photographies ou d’histoires assez vides ? », s’interrogeait le centriste François Bayrou sur BFM TV le 7 septembre 2016, avant son ralliement à M. Macron, qu’il qualifiait alors d’« hologramme ».

« Il y a là une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois de très grands intérêts financiers et autres qui ne se contentent plus d’avoir le pouvoir économique. » Le ministre Macron, qui, en octobre 2014, estimait que la « maladie de la France » était « celle des intérêts particuliers constitués », aurait presque pu approuver…

 

Xème contradiction parmi d’autres

 

Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire protestant Réforme, M. Emmanuel Macron, le candidat du mouvement En marche !, déclare que « l’immigration se révèle une chance du point de vue économique, culturel, social  ».

Or cette ligne ne se retrouve pas dans son programme présidentiel : il évoque surtout le droit d’asile — que la droite promet de durcir, mais pas de supprimer —, prévoit de « reconduire sans délai » les déboutés dans leur pays, mais laisse largement de côté les autres migrations

 

Stop ! On n’en finit plus avec ce personnage de préférence pour HOLLANDE « Le Président » + Laurette ONKELINX et ELDRUPO social-démocrates PS belges

On tire la chasse.

 



25/04/2017
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