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LIEGE / CATALOGNE / FERNANDEZ (PS belge et liégeois)

 

 

 

 

     Catalogne1   626 W

 

 

 

1 La REPUBLIQUE LIBRE D'OUTREMEUSE a fêté en bord de Meuse le 02.11.2017 sur le Bateau "Prince de Liège" l'indépendance de la CATALOGNE offrant avec un tout autre type de générosité que FERNANDEZ i FERNANDEZ  (Social démocrate PS) échevin ville de Liège, ASILE PERMANENT toujours à ses yeux et selon vox populi 1er MINISTRE CATALAN : PUIGDEMONT

 

2 Julie FERNANDEZ i FERNANDEZ également députée fédérale liégeoise social-démocrate PS fut tolérée comme "observateur" sans plus étant donné son attachement - La Meuse 31.10.2017 - à l'unité de l'Etat Espagnol sans donner de détail dont pour mémoire rappelons que sa structure reste et demeure depuis 1978 un héritage très petitement amendé du régime franquiste.

  

3 EXTRAIT pour du détail MONDE DIPLO 11.2017

 

La Constitution espagnole n’a pas évolué depuis son adoption en 1978, trois ans après la mort du dictateur Francisco Franco, perdant peu à peu le contact avec la réalité de la société qu’elle devait structurer.

La lecture séparatiste n’explique pas pourquoi le premier ministre espagnol incendie la Catalogne le 1er octobre puis appelle à y tenir des élections, ni pourquoi son homologue catalan déclare une indépendance sans aucun effet réel et qui mécontente autant ses partisans que ses adversaires. La réponse est que la crise catalane constitue une forme de territorialisation de conflits nés ailleurs.

Depuis la mise en œuvre de politiques d’austérité draconiennes en 2011, l’Espagne connaît une période d’instabilité qui se traduit par des crises de plus en plus graves : mouvement d’occupation des places dit « du 15-M » en 2011 (1) ; crise de la représentation parlementaire en 2015 et 2016 (conduisant à trois cent quinze jours sans gouvernement, les affaires courantes restant expédiées par un conseil des ministres sortant) ; défi sécessionniste catalan.

 

Le problème sous-jacent à ces trois crises ?

Les principes d’une Constitution conçue comme le point de départ d’une transition entre le franquisme et la démocratie, mais qui a fini par entraver le processus qu’elle devait rendre possible.

On a connu texte plus démocratique.

Le système de l’aforamiento (aforar = Accorder des privilèges) par exemple, constitue une survivance de l’ancien régime grâce à laquelle 17 000 personnes échappent à la justice de première instance et sont jugées par des tribunaux supérieurs, plus sensibles aux interventions du pouvoir exécutif.

Similaire au statut exceptionnel qui protège en France le président et le gouvernement, il couvre en Espagne l’ensemble des parlementaires (y compris ceux des Parlements régionaux) et des magistrats.

Les partis politiques se voient également conférer un rôle « fondamental » dans la « participation politique » (article 6), qui dépasse de très loin celui de concourir à la formation de l’opinion publique, comme dans la plupart des démocraties.

 

Tandis qu’ailleurs on conçoit la volonté générale comme le dépassement d’intérêts individuels, le système espagnol développe une vision organiciste du monde : les masses doivent être encadrées pour former un peuple.

Ainsi le régime franquiste organisa-t-il la société autour du Mouvement national et du Syndicat vertical.

Après la mort du dictateur, l’Espagne s’est ouverte au pluralisme politique et syndical, mais elle n’a pas fondamentalement changé la définition de leur fonction.

 

Les citoyens votent pour une formation qui choisit ensuite ses députés sur une liste close, à proportion du score général obtenu. Et ces derniers n’effectuent pas de permanences dans leurs circonscriptions...

Moins que des associations d’individus cimentées par l’affinité idéologique, les partis politiques espagnols se structurent donc comme des corporations peu perméables à l’humeur publique et blindées contre leurs propres bases militantes.

 

Comment s’étonner de leur degré de corruption ?

Les révélations liées à l’« affaire Gürtel » — 43 millions d’euros détournés au profit du Parti populaire (PP) — s’accumulent, presque quotidiennement, dans la presse depuis plusieurs années. Il ne s’agit pourtant que de l’un des innombrables scandales liés à une corruption devenue systémique. (Voir ci-dessous)

En 2014, la branche espagnole de l’organisation Transparency International avait demandé que soient « débloquées les listes fermées des partis » et que ces derniers « publient leurs comptes de campagne dans les trois mois suivant les élections » . Un appel resté lettre morte.
Fin de  citation

 

4 Madame FERNANDEZ était absente mais qu’elle se rassure NVA ou pas, VRANCKEN ou pas, prix de vertu patriotique ou pas, avec ignorance ou pas de l'histoire, nous sommes persuadé qu'il en est qui se souviennent que les enfants CATALANS ignoraient jusque 1983 légalement à l'école leur langue par la volonté d'un Etat incontestablement corrompu et resté unitaire depuis l'écrasement de la République Espagnole sous FRANCO.;

 

Le rédac de RIPOSTE

 

     CatalognePeu

 

 

 

Clic sur lien ci-dessous.

Eh oui : UNITE ou AUBERGE ESPAGNOLE

 

https://www.lasemaineduroussillon.com/2017/09/22/plus-de-45-milliards-de-de-corruption-annuelle-rajoy-a-tete-parti-politique-plus-corrompu-deurope/

 



05/11/2017
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